France, 1907 : C’est ainsi qu’on répond aux gens qui vous donnent des avis, non pour vous obliger, mais pour servir leurs propres intérêts. Le dicton est tiré de l’Amour médecin de Molière, où un orfèvre nommé Josse cherche à persuader un bourgeois nommé Sganarelle, dont la fille est malade d’amour, qu’une belle garniture de diamants, de rubis on d’émeraudes la guérira. Sganarelle comprend que le conseil n’est pas désintéressé et répond : « Vous êtes orfèvre, Monsieur Josse, et votre conseil sent son homme qui a envie de se défaire de sa marchandise. »